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Le récap de la semaine du 15 au 19 mars

Écosystème
vendredi 19 mars 2021

Semaine chargée ? Pas le temps de suivre l'actualité ? Placéco vous a préparé un récapitulatif non exhaustif des infos qu'il ne fallait pas louper la semaine dernière. Le groupe pharmaceutique Merck s'apprête à inaugurer son 13e bâtiment au sein de la technopole Montesquieu, Dydu lève 6,3M€ pour ses robots conversationnels, et l'avenir de la navette Bordeaux-Orly s'assombrit. A découvrir également : l'étonnant modèle économique de Pony.

Le groupe allemand pharmaceutique Merck KGaA, qui inaugurera bientôt son treizième bâtiment au cœur de la technopole Montesquieu, ambitionne de passer de 380 à 500 collaborateurs d’ici 2023 sur son antenne de Martillac. La croissance du site, de l’ordre de 20% par an, est portée par celle de son activité de prédilection : le développement et la production de médicaments anticancéreux.

L’entreprise Dydu vient d’annoncer une levée de fonds de 6,3M€ pour investir dans sa R&D. Spécialisée dans les robots conversationnels, elle poursuit l’objectif de croître plus rapidement que le marché pour conserver sa place de leader français.

Les députés de la commission des lois de l’Assemblée nationale ont approuvé dimanche l’article qui entérine la suppression des vols intérieurs susceptibles d’être remplacés par le train en moins de 2h30. Une « absurdité » pour le président de Bordeaux Métropole Alain Anziani, dont les différentes tentatives de discussion avec le Gouvernement sont longtemps restées lettre morte.

Rare acteur français sur le marché en plein essor des trottinettes et vélo en libre-service, Pony a installé ses activités de développement produit à Bordeaux et se prépare à candidater pour un déploiement à l’échelle de la métropole. Accompagnée depuis peu par Aquiti Gestion, la startup prend le contrepied de ses concurrents internationaux avec un modèle de développement inédit : elle propose en effet aux particuliers d’acquérir ses engins en libre-service. Explications.

La SATT Aquitaine Science Transfert a investi l'année dernière 4,2 millions d’euros dans des projets d’innovations issus de la recherche publique. Une somme maintenue en 2021 malgré la crise, pour cette structure tout à fait singulière.