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Le récap de la semaine du 7 au 11 mars

Écosystème
vendredi 11 mars 2022

Industrie, investissement, environnement, immobilier : riche semaine dans l’écosystème girondin ! Sélection des sujets qu’il ne fallait pas manquer cette semaine sur Placéco.

Le futur du pneumatique s’écrira-t-il à Bassens ? Michelin, qui y opère une usine dédiée à la production d’élastomères synthétiques, se prépare à mettre en service une unité de production préindustrielle chargée de fabriquer du butadiène, l’un des composants de la bande de roulement des pneus, biosourcé à partir d’éthanol. L’aboutissement prochain d’un projet de dix ans, qui a justifié 70 millions d’euros d’investissements.

Fin de notre dossier en quatre volets dédié à la problématique de la construction de nouveaux logements à Bordeaux, avec l’interview de David Miet, architecte et urbaniste chez Villes Vivantes, qui propose de vrais leviers, à la fois politiques et économiques pour répondre à la demande et favoriser l’acceptation de l’inévitable densification des zones résidentielles. Un sujet sur lequel planche également à son échelle Patrick Davet, maire de La-Teste-de-Buch.

L’univers du capital risque bordelais s’est enrichi cette semaine d’une nouvelle structure, l’association Bordeaux Angels. Elle réunit une trentaine de business angels girondins sous l’égide de la CCI et du Club des Entrepreneurs, avec l’ambition de proposer une forme de « circuit court » de l’investissement. Neuf startups ont profité de son inauguration pour détailler leurs besoins en financements.

Comment faire accepter au public la construction d’un parc solaire de 1000 hectares en lieu et place d’une forêt de pins ? C’est la question sur laquelle vont pouvoir plancher Engie et Neoen, les principaux artisans du projet Horizeo, après la synthèse réalisée par la commission particulière du débat public saisie du dossier.

De la préfecture à la CCI en passant par la région, la guerre en Ukraine s’invite d’une façon ou d’une autre dans tous les échanges. Les chiffres montrent que le conflit n’a qu’un impact direct limité sur l’économie girondine, mais il subsiste des incertitudes quant aux conséquences indirectes, liées notamment à l’approvisionnement en matières premières agricoles et bien sûr en énergie.