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Le récap de la semaine du 12 au 16 septembre

Écosystème
vendredi 16 septembre 2022

Retour sur l’actualité des derniers jours en Gironde, en cette période de rentrée scolaire mais aussi de rentrée politique, placée sous le sceau de la sobriété énergétique.

Pierre Hurmic, maire de Bordeaux, et Alain Anziani, président de Bordeaux Métropole, se sont tour à tour livré au traditionnel exercice de la conférence de presse de rentrée. Avec, dans les deux cas, un discours centré sur la nécessité de réduire les dépenses publiques en matière d’énergie, aussi bien pour des raisons financières qu’écologiques. Comment la ville de Bordeaux et la Métropole comptent-elles atteindre cet objectif sans pénaliser les services publics ? Eléments de réponse dans nos comptes-rendus.

Finie l’anarchie des trottinettes et des vélos en libre-service ? Alors qu’une douzaine d’opérateurs se partagent aujourd’hui le pavé bordelais, la Métropole a sifflé la fin de la foire d’empoigne en sélectionnant six acteurs (deux par type d’engin). Elle étend dans le même temps le périmètre de ces flottes de mobilités douces à 24 communes.

Chargé de piloter le grand projet d’urbanisme qui doit relier la gare Saint-Jean à la Garonne et donner naissance à un nouveau quartier commerçant, le promoteur Apsys a précisé mardi les contours et l’identité de cet investissement à 450 millions d’euros. Un projet amendé pour mieux répondre aux ambitions écologiques et sociales de la Ville, et qui doit voir le jour d’ici 2026.

Démocratisé par le numérique, l’esprit « pirate » s’invite chez les vignerons bordelais, avec la création d’une association qui cherche à fédérer et valoriser ceux qui souhaitent se détacher de l’image parfois jugée trop consensuelle associée aux vins de Bordeaux. Son objectif : créer un label qui récompenserait les cuvées sortant délibérément des clous.

Le CHU de Bordeaux a tiré lundi le bilan d’un été sous tension, marqué par les difficultés liées à la régulation des urgences, conséquences d’un manque de personnel face auquel le premier employeur de Gironde entend bien ne pas rester inactif. Il envisage par exemple la création de son propre centre de formation, tout en déroulant son plan stratégique qui prévoit 1,2 milliard d’euros d’investissements sur dix ans.